Auteur.ice.s

Eric Warnauts

À l’instar de ses frères Marc-Renier et Roland, Eric Warnauts se destine très jeune à la bande dessinée. Il fait honneur à la fratrie en publiant son premier album, « Passion Vinyle », chez Futuropolis. Deux albums indépendants plus tard, il fait une rencontre qui va changer sa vie artistique, celle de Guy Raives, pour qui il écrit deux tomes de « Paris Perdu ». Mais c’est à l’occasion de leur passage dans le mensuel (À Suivre) des Éditions Casterman que leur collaboration prend réellement forme : tous deux scénarisent, puis dessinent à quatre mains un nombre impressionnant de one-shots, inscrivant leurs récits dans des lieux, acteurs à part entière, et des époques dont ils cherchent à restituer l’atmosphère. Il arrive toutefois à Eric Warnauts de faire quelques infidélités à son compère, notamment pour écrire pour son frère Marc-Rénier. Trente ans après ses débuts, Warnauts peut revendiquer une belle carrière, riche et éclectique, avec la collaboration pour fil rouge.

Photographie et Texte © Le Lombard / Chtipowr4ev

Cyril Bonin

Né le 16 mai 1969 en Saône-et-Loire, Cyril Bonin suit les cours des Beaux-Arts de Mâcon, puis étudie les Arts décoratifs à Strasbourg avant de finaliser par une année de DESS en images de synthèse. Il travaille pendant deux ans dans une petite maison de production vidéo, tout en réalisant des illustrations. Son entrée en bandes dessinées s’effectue chez Casterman ou, de 1999 à 2004, il illustre les six volumes de « Fog » sur scénarios de Reiner (« Le Tumulus », « Le Destin de Jane », « Le Mangeur d’âmes », « Les Sables du temps », « La Mémoire volée », « Remember »). On y découvre le Londres de 1874 et une série de crimes effroyables qui annoncent le futur Jack the Ripper. Son dessin élégant et précis s’applique à merveille au récit d’ouverture de la série « Quintett », scénarisée par Frank Giroud : « L’Histoire de Dora Mars », dans la collection Empreinte(s) des éditions Dupuis. L’ensemble des ouvrages, illustrés par six dessinateurs différents, reconstitue une courte période vécue par une unité française envoyée dans les Balkans en 1917 et où chaque tome s’axe sur un personnage différent, placé au coeur de ce fragment d’épopée vécue au quotidien.

Texte © Dupuis  Photo © Claude Truong-Ngoc / Wikimedia Commons

Thibaud de Rochebrune

Après avoir obtenu son Bac en 1990, Thibaud de Rochebrune suit l’atelier de Bande dessinée d’Angoulême. En 1995, après l’atelier et 10 mois de service civil à l’Office National des Forêts de Poitiers, il travaille dans le dessin animé. D’abord dessinateur, il publie en 2001 un album court, le comics « Les Veneurs » aux éditions Le Cycliste, sur un scénario d’Ebatbuok (Raphaël Vaillant). Il travaille ensuite sur la série « Bluehope », avec Serge Meirinho et Nadine Thomas. À la fin du tome 3 de « Bluehope », en 2005, il propose « Filii » à Bamboo, qui sera son premier scénario publié. Après plus de 10 années riches d’albums et d’expériences (« Filii », Éditions Bamboo, « Les chemins de Vadtena », Éditions Soleil, « Jack », Éditions Dupuis), le voici de retour chez Glénat, au coté de Philippe Bonifay pour le « Pinocchio » (2013) de la série « À l’Origine des Contes ».

Texte et Photos © Glénat

Jean-Denis Pendanx

Jean-Denis Pendanx, né en 1966 à Dax, est un illustrateur et dessinateur de bande dessinée français.
Après une année préparatoire à l’école Estienne à Paris, Jean-Denis Pendanx obtient un BTS en arts appliqués au lycée Jolimont de Toulouse, puis suit les cours de l’école des arts décoratifs de Paris. Il vit à Bordeaux où il se consacre à la bande dessinée, aux illustrations de livres pour la jeunesse, aux illustrations pour des magazines, ainsi qu’à des expositions et animations autour du métier de dessinateur de BD. En 1991 il publie avec Doug Headline son premier album : Diavolo le solennel, aux éditions Glénat.

Annulation de dernière minute.

Texte et Photos © Pymouss

Robin Walter

Robin Walter est né en 1979, en région parisienne. Dés son plus jeune âge, il s’amuse à redessiner les aventures de ses héros préférés, issus des dessins animés japonais de l’époque (Dragon Ball, Les Chevaliers du Zodiaque…). Dans les nombreux fanzines de BD qu’il propose alors régulièrement et uniquement à son plus jeune frère, il se découvre rapidement l’envie de raconter ses propres histoires.
En grandissant, Robin va tenter de poursuivre son rêve de devenir auteur de BD. Tout en continuant son apprentissage du dessin, ce qui l’amènera deux ans à Paris (École Supérieure d’Art Graphique) et un an aux Beaux arts d’Angoulême, il se passionne pour le passé concentrationnaire de son grand-père, en l’accompagnant régulièrement en Allemagne, visiter les camps. C’est assez naturellement que Robin vient à écrire sur ce thème avec « KZ DORA ».

Texte et photo © Robin Walter

Michel Rouge

Michel Rouge a réalisé diverses aventures à travers des séries de genres très différents, variant les univers graphiques : il a abordé les mythes et récits du Moyen âge, le western,  l’antiquité du Moyen Orient pour  aboutir aux relations compliquées du monde contemporain et de la géopolitique mondiale. Après avoir suivi quelque temps les cours de Georges Pichard et Yves Got aux Arts Appliqués, il démarre sa carrière professionnelle en 1977 aux éditions Vaillant en assistant André Chéret sur l’encrage des décors de sa série Rahan. Il fréquente ensuite le petit atelier de Régis Loisel qui voit passer de nombreux dessinateurs et réalise durant cette courte période des histoires courtes avec Serge Letendre. C’est à ce moment qu’il rencontre Rodolphe avec lequel il réalisera le premier volet des Légendes de l’Eclaté qui paraîtra dans « Métal Hurlant ». C’est en livrant à la rédaction du journal Métal-Hurlant un petit western écrit par Serge Letendre, Ainsi va la vie, qu’il est remarqué par Jean Giraud-Moebius et que ce dernier lui propose alors de venir travailler avec lui sur les planches de Blueberry dans le sud de la France. Il va parfaire sa technique d’encrage sur l’album La Longue Marche et concevra différemment  la mise en scène exigée par le dessin  réaliste. Il inaugure l’année suivante une longue collaboration avec Rodolphe. Ils réaliseront ensemble cinq albums et quelques histoires courtes. Dans l’ordre chronologique : Les Légendes de l’Eclaté ; Les Écluses du Ciel dont les éditions Glénat viennent de rééditer une intégrale en petit format puis une adaptation deLa Quête du Saint Graal intitulée Les Héros Cavaliers scénarisé par Patrick Cothias avec lequel il aura une divergence de vue : il décidera d’abandonner la série qui se prolongera avec un autre dessinateur. Michel Greg le sollicite pour la reprise de Comanche et ils réaliseront ensemble cinq albums de cette série, interrompue par le désistement de Hermann. Quelques années plus tard, Jean Giraud décide, pour remplacer W. Vance qui ne peut achever le troisième volet de la série annexe Marshal Blueberry, de le remplacer en faisant appel à son ancien élève. C’est par l’intermédiaire des Humanoïdes Associés qu’il va ensuite dessiner Shimon de Samarie avec le scénariste Fred Le Berre. Cette aventure qui comporte trois albums répond au désir de traiter un climat traditionnel en images, en l’occurrence la tradition Juive, qui fut choisi comme contexte par Fred Le Berre pour développer une intrigue policière. S’intéressant depuis longtemps à l’évolution du monde oriental face aux idéologies modernes, il va enfin proposer à Fred Le Berre de l’aider à scénariser un projet dont le thème principal se réfère aux traditions de l’Inde face aux enjeux stratégiques de l’hégémonie occidentale. C’est aux éditions Glénat que le premier voletde cette nouvelle aventure paraîtra en septembre sous le titre La Danse de Kali dans la série Kashmeer.

Texte et Photo © Glénat

Nicolas Otero

Nicolas Otero a ressenti très tôt le besoin d’exorciser le fait qu’il y ait un début et surtout une fin à chaque chose, et la meilleure des solutions fut de se mettre à illustrer des histoires, des souvenirs, des instants… C’est ainsi qu’après des années chaotiques et débridées, il a la joie de se voir enfin publié en dessinant la série AmeriKKKa avec Roger Martin, polar très noir et qui comble son désir de militant farouche. Il croise ensuite la route de Laurent Moënard, scénariste qui l’entraine au Mexique en pleine révolution pour un western teinté de mysticisme et d’espionnage intitulé Le Sixième Soleil, publié par Glénat. Et puis une rencontre, un jour avec l’auteur BAT, pose les bases de ce microcosme déjanté et fun qui devient Bonecreek, petite ville paumée et dangereuse. En 2012, il intègre l’équipe de la saga de SF de Corbeyran Uchronie[s] dont il dessine le cycle New Moscow. En 2016, il publie chez Glénat le roman graphique Confessions d’un enragé.

Texte et Photo © Glénat

Jean-Michel Beuriot

Après des études d’arts plastiques, un voyage important en Afrique du Nord et quelques travaux de graphisme, Jean-Michel Beuriot fait ses débuts dans la bande dessinée en illustrant des récits complets aux Éditions du Lombard. Publié dans (À Suivre), il acquiert une réputation qui le mène à un premier album chez Glénat, Le Bruit des bottes. Avec Philippe Richelle, il dessine Belle comme la mort pré-publié dans la revue (À Suivre) et paru en 1995 chez Casterman. Il dessine ensuite, toujours sur un scénario de Richelle et chez Casterman, la série Amours fragiles (7 tomes parus). En 2016, il se lance, avec le même complice, dans un one-shot retraçant une partie de la vie de Voltaire.

Texte et Photo © Casterman

Philippe Richelle

Philippe Richelle, diplômé en sciences politiques, débute sa carrière en 1986, aux Éditions du Lombard. En 1993, il entre au mensuel (À Suivre) où il écrit entre autres Belle comme la mort pour Jean-Michel Beuriot. Chez Casterman, il crée ensuite, avec Jean-Yves Delitte, Les Coulisses du pouvoir. Parallèlement, il entame avec Beuriot la série Amours fragiles. Encensée par la critique, cette grande fresque historico-romanesque relate avec nuance et sensibilité le deuxième conflit mondial. Pour Casterman encore, il signe Opération Vent printanier avec Pierre Wachs. Chez Glénat, il scénarise successivement les séries Secrets bancaires (avec Wachs et Dominique Hé), Secrets bancaires USA (avec Hé), Les Mystères de la République (avec Alfio Buscaglia, François Ravard et Wachs) et Les Guerriers de Dieu (avec Wachs). Chez Rue de Sèvres, il réalise avec Frédéric Rébéna le roman graphique Mitterrand, un jeune homme de droite.

Texte et Photo © Casterman

Tommaso Bennato

Tommaso Bennato (dessinateur) est né en 1985 à Naples. Il réside en France. Depuis tout petit, à l’ombre du Vésuve il alimente une forte passion pour le dessin, passion qui ne l’a plus jamais quitté … En 1999 il s’inscrit à l’Institut d’art de Saint Gennaro Vesuviano où il a failli devenir designer d’intérieurs et extérieurs… :). Là, il a la chance de rencontrer des professeurs qui le portent vers le monde de la bande dessinée en l’orientant vers l’École Internationale de Comics de Rome où il se spécialise en bande dessinée étrangère. Grâce à une bourse d’études, il publie ses premiers travaux, tout d’abord pour Kodansha (Japon) puis pour Marvel (Etats-Unis) avec une histoire courte de Hulk, puis pour deux maisons d’édition françaises, Clair de Lune et Narratives. Il fera ensuite ses deux premiers livres pour les Editions Delcourt. Le premier, « Le phare d’Alexandrie » pour la collection Les 7 merveilles, en 2014 ; le second, « L’homme qui voulut venger César » pour la collection L’homme de l’année, en 2015. 

Texte © Delcourt

Xavier Fourquemin

Xavier Fourquemin est diplômé de l’académie des Beaux-Arts de Tournai. Avec Dieter au scénario, il lance sa première série, Alban, aux éditions Le Téméraire puis chez Soleil, puis entame Outlaw chez Glénat. En septembre et octobre 2007, avec le scénariste Jean-Christophe Derrien, son diptyque Miss Endicott paraît au Lombard pour la collection « Signé ». Suivront La Légende du Changeling (2008-2012) et Le Train des orphelins (2012-2013).

Texte © Glénat

Paul Salomone

Paul Salomone est né en 1981 dans le Finistère et grandit bercé par les créations de son père, artiste peintre sculpteur. Il dessine partout, dans sa chambre ou à l’école, et crée de multiples personnages, des plans d’architectures, des animations ou des décorations intérieures. En 2000, il s’exile à Nîmes pour obtenir une Licence d’Arts Appliqués. Paul devient athlète de haut niveau mais son esprit créatif prend le pas sur ses entraînements. Il trouve sa voie dans la BD. Paul participe au premier Salon Européen de la Bande Dessinée de Nîmes et ses productions sont remarquées par Albert Uderzo. Le scénariste Wilfrid Lupano est interpellé par le trait du jeune dessinateur. Cette union donne naissance à L’Homme qui n’aimait pas les armes à feu, inspiré de l’univers des Frères Coen et de Buster Keaton. En 2018, il revient aux éditions Delcourt avec son premier roman graphique Des Plumes et Elle, véritable hommage aux danseuses de cabaret du début du XXsiècles.

Annulation de dernière minute pour raison médicale.

Texte © Delcourt

Leah Touitou

Léah Touitou fait ce qu’elle préfère dans la vie : dessiner, animer des ateliers et voyager. Elle parcourt l’Afrique de l’Ouest avec un gros sac et un petit carnet pour le projet « Caravane d’Images ». Le reste du temps, elle fait des planches de bande dessinée à l’atelier Vermillon à Lyon (pour les éditions Jarjille), et des ateliers BD dans tous les coins. Elle a été reçue en Résidence artistique à Mur-Es-Allier sur 2015-2016 et revient à Clermont-Ferrand au Rendez-Vous du carnet de Voyage.

Texte et Photo © BDGest

Borris

Borris, diplômé d’une maîtrise d’Arts plastiques, commence en publiant des bandes dessinées animalières dans le fanzine PLG, puis dans des ouvrages collectifs aux Editions Petit à Petit. Il sort en 2010 « Lutte Majeure » (Casterman) sur un scénario de Céka (Prix Bulles Zik, meilleur album au festival de Moulins et sélection Angoulême 2011). Il s’essaie pour la première fois au scénario pour Charogne en collaboration avec Benoit Vidal, album qu’il dessine pour les éditions Glénat (Prix « Polar » meilleur one-shot BD au festival de Cognac en 2018, Prix Quais du Polar à Lyon en 2019). Pour le reste, il enseigne le dessin et réalise des illustrations pour l’édition et la presse.

Texte et Photo © Glénat

Capucine Mazille

Née aux Pays-Bas en 1953, Capucine Mazille a entamé une brillante carrière internationale d’illustratrice, on ne compte plus ses livres publiés pour la jeunesse ainsi que ses expositions partout dans le monde. Son père étant peintre, c’est tout naturellement qu’elle a voulu se tourner vers la peinture pour raconter les histoires qui naissaient dans son imaginaire. Son choix concernant la jeunesse lui tenait à cœur afin de transmettre le plaisir de lire aux plus petits, les faire rire ainsi qu’à leurs parents. Elle travaille entièrement en aquarelle sur une grande variété de supports allant des albums, aux documentaires en passant par les contes ; mais aussi des histoires sans paroles. Ce fut un jour une rencontre avec les éditions Mosquito qui la convainc de faire de la BD ; dès lors elle ne quitta plus ses bulles au plus grand bonheur de ses lecteurs. Capucine anime des ateliers jeunesse et vit aujourd’hui en Haute-Savoie.

Texte et Photo © Mosquito

Christian et Brigit Offroy


Christian Offroy est artiste peintre, installé à Montagnieu dans l’Aindepuis une dizaine d’année. Ce peintre figuratif, diplômé de l’AcadémieRoyale des Beaux Arts de Bruxelles, évoque dans ses œuvres la diversitéet la fragilité de l’humanité, souvent avec une touche burlesque ou raillante.Dans ses illustrations on retrouve cette même fragilité, accentuée parla douceur de ses couleurs. Depuis bientôt 10 ans, il travaille principalement comme illustrateur pour les éditions Couleur Corbeau. Sa femme Brigit dirige cette jeune maison d’édition créée en 2012.

Texte et Photo © Couleur Corbeau

Cocotte en papier

Après s’être pliée en quatre pour devenir graphiste, Cocotte en papier se révèle illustratrice dans l’âme. Elle jongle entre crayons, peinture et collages pour donner des couleurs à ses rêves de petite fille. éditée depuis 2016 maintenant ! L’écriture s’est imposée à elle alors qu’elle avait envie de parler de son chemin de vie au travers ses expérience de vie… Mais d’en parler avec des mots d’enfants. Son première Album Petit bonhomme plante la forêt verra le jour en 2018 et sera l’amorce d’une chouette aventure avec les mots. Cocotte propose aussi la réalisation de fresques Murales décoratives, en passant des hôpitaux aux chambres d’enfants chez les particuliers, les murs n’ont qu’a bien se tenir pour le plus grand plaisir des petits !

Cocotte en papier ne sera présente que le Samedi 21 Mai.

Texte et photo © Cocotte en papier

Thierry Martinet

Son métier initial de dessinateur technique est vite troqué pour l’illustration, le graphisme et la publicité. Très jeune, une passion pour le monde de l’aviation s’installe grâce à un cousin pilote dans la Patrouille de France. Fasciné depuis l’enfance par la BD, il monte un atelier de création graphique où le 9e art est, bien sûr, privilégié. Il collabore avec plusieurs dessinateurs et artistes de bande dessinée. Initiateur et auteur de plusieurs expositions. Il est aussi le créateur du festival « BD dans l’Ain » à Bellegarde sur Valserine.

Texte et photo © Idées+

Stephanie Chartier

Stéphanie, qui réside à Saint-Genis-Pouilly, est consultante en communication free-lance. L’histoire de sa série de livres inclusifs « La petite Julie » mettant en scène l’homoparentalité débute en Belgique, alors que Stéphanie Chartier et sa compagne ont une insémination qui donnera naissance à leur enfant. Devant la difficulté de trouver des modèles de familles homoparentales, l’autrice décide de créer sa propre collection qui prendra naissance et grandira au rythme de sa petite fille.

Stéphanie Chartier ne sera présente que le Dimanche 22 Mai.

Texte © Fugues.com

Sophie Moranval

Née le 28 Décembre 1979 à Annecy, réside à Saint Genis Pouilly: Enseignante en maternelle et passionnée de littérature jeunesse, elle adore flâner dans les librairies et se met à rêver d’écrire à son tour. Début 2021, Sophie se lance et commence à écrire ses propres histoires, c’est le début d’une belle aventure.   

Page : https://www.facebook.com/sophie.moronval.auteure/

Texte et photo © Sophie Moranval

Maison d’édition indépendante « Splotch »