Festival BD Ferney-Voltaire 2025 : Les invités
Halim, Invité d’Honneur
Né en 1977 à Rouen, Halim Mahmoudi est un auteur, illustrateur et scénariste français d’origine algérienne. Après des études en arts graphiques et design à l’Université d’Amiens, il se consacre au dessin de presse et à la bande dessinée. Son premier album, « Arabico », publié en 2010, est sélectionné parmi les 10 meilleures BD d’actualité pour le prix France Info. En 2014, il publie « Un monde libre », un roman graphique salué pour sa portée citoyenne, dont des planches sont exposées au Musée national de l’Histoire de l’Immigration. En 2017, il propose « Petite Maman », une œuvre intimiste et émouvante (Prix Arouet de la BD en 2018). Parallèlement, Halim Mahmoudi anime des ateliers d’illustration et de scénario, et collabore avec divers journaux et associations. Son travail aborde souvent des thématiques sociales et politiques, reflétant son engagement et sa sensibilité artistique.
Un regard sensible et documenté, tendre et précis sur Falloujah.
Feurat est journaliste. En 2003, il part en reportage en Irak, à Falloujah. Mais Falloujah c’est aussi la ville de son enfance, la ville parcourue par un fleuve dont il porte le nom.
Le présent et le passé, le professionnel et le personnel s’éclairent réciproquement… Une autre Irak affleure, humaine, colorée, complexe, vivante. Une ville qui vit, malgré tout, riche de son histoire, de sa culture, de ses traditions et de ses habitants.
Lorsque Brenda vient au monde, sa mère, Stéphanie, a 15 ans, et son père s’est déjà éclipsé. Négligée, Brenda grandit pourtant vite et apprend à se débrouiller seule. Malgré les brimades et les punitions injustes dont elle est victime, elle souhaite voir sa mère heureuse et s’occupe d’elle du mieux qu’elle le peut, à tel point que les rôles s’en trouvent inversés, Brenda devenant la « petite maman » de sa mère.
Après avoir vécu des drames personnels violents au coeur de la cité dans laquelle il vit avec sa famille, Khalil, devenu adulte, se plonge dans l’écriture et la course pour s’échapper du ghetto et aller vers un monde libre
Alep (Michel Jacquet)
Michel Jacquet, connu sous le pseudonyme d’Alep, est un scénariste de bande dessinée français originaire de Terrenoire, un quartier de Saint-Étienne. En 2004, il cofonde les éditions Jarjille avec Serge Prud’homme (alias Deloupy) et Alain Brechbuhl, une maison d’édition associative spécialisée dans les ouvrages mêlant textes et images, notamment des bandes dessinées. citeturn0search0 Le catalogue de Jarjille compte aujourd’hui plus de cent ouvrages réalisés par une cinquantaine d’auteurs. Parmi les publications notables d’Alep figurent « L’affaire Chaland » (2023), « Changer d’ère » (2022) et « Little Agatha Christie » (2021). En tant que scénariste et éditeur, Alep joue un rôle clé dans la promotion de nouveaux talents de la bande dessinée stéphanoise.
Peut-on parler d´écologie, de perte de biodiversité, de réchauffement climatique, sans jeter un froid dans toute bonne assemblée ? Changer d´ère, fait en collaboration avec la ligue de protection des oiseaux prouve que oui ! On peut se poser des questions, s´informer, sans plonger pour autant dans le désespoir le plus sombre. C’est du moins le parti pris par les deux auteurs qui préfèrent éveiller à la conscience par le rire plutôt que de hurler au loup. Il y a de l´espoir dans cet album et cela fait un bien
Alberto, un vieil ami de Max et Lucia, a un malaise dans leur librairie et se retrouve inconscient à l’hôpital. Quelle terrible erreur évoquait-il dans ses ultimes propos concernant la naissance de Max à la maternité de Peñagrande ? Et pourquoi Madrid alors qu’il pensait être né à Barcelone ? Et l’enfant que Lucia présume avoir perdu dans cette même maternité, pourrait-il être cet auteur Argentin qui parle justement de Peñagrande dans ses fanzines ? La clef de l’énigme semble se cacher dans l’un de ses livres, mais ils sont rares et difficiles à trouver. De Madrid à Paris, l’enquête se poursuit, et la révélation finale va souder le petit groupe d’amis comme jamais.
En pleine nuit, un vol est commis dans une librairie spécialisée en livres rares, la librairie « L’introuvable ». Quelqu’un a cassé la vitrine pour s’emparer d’un petit album illustré sans grand intérêt d’un auteur mineur. Hasard, vandalisme ? Pour Max et Lucia, les deux libraires, il apparaît très vite que le vol n’est pas motivé par l’appât du gain, ce livre cache quelque chose, un terrible secret … Leur enquête va les entraîner malgré eux dans les tourbillons de l’histoire. Une enquête dans les rues de Saint-Etienne.
William Augel
est un auteur de bande dessinée français né en 1973 au Mans. Illustrateur autodidacte, il développe un univers tendre et poétique, souvent teinté d’humour et d’absurde. Il se fait connaître avec la série Zoostrip, des gags animaliers pleins de finesse. Son style graphique, influencé par le dessin d’enfance et les cartoons classiques, séduit par sa simplicité faussement naïve. En 2017, il publie Petit, une BD remarquée qui aborde le thème de la différence avec délicatesse. Il enchaîne ensuite avec Mon Copain Secret et Monsieur Lapin, des albums destinés à la jeunesse mais qui parlent aussi aux adultes. Son trait rond et expressif accompagne des récits à la fois drôles, philosophiques et empreints de tendresse. William Augel est également reconnu pour ses travaux en illustration jeunesse. Il collabore régulièrement avec des maisons d’édition comme La Joie de Lire et Delcourt.
Avant de revêtir son célèbre costume jaune et de devenir l’un des plus célèbres maîtres du kung-fu, Bruce Lee était un enfant comme les autres… Enfin, presque !
Aux côtés de son père, chanteur d’opéra, de ses grandes soeurs ou bien de son dragon imaginaire, le jeune Bruce apprend les choses de la vie. À l’entrainement, à l’école et même en rêves, toute leçon est bonne à prendre pour devenir un homme qui compte !
Et pour botter les fesses de Chuck Norris quelques années plus tard, il lui aura fallu s’entraîner avec acharnement. Et découvrir qu’il convient aussi de savoir faire preuve de ruse et de pondération ! Car c’est par la voie de la sagesse que l’on devient un « petit génie » !
Les animaux ont-ils le sens de l’humour ?
Le petit gorille se prend pour Tarzan, les poux se racontent la catastrophe de la « grande toilette »,
l’ours blanc trouve que la banquise rétrécit…
Entre humour noir et gags déjantés,
les animaux sont les grands héros de Zoostrip !
Auteur talentueux du “Petit Mozart” aux éditions La boîte à bulles et chez Jarjille de “Jean-Baptiste”, chien scatophile et obsédé sexuel, ainsi que d’un BN² intitulé “Monstrueuse Cathy”, William Augel prolonge ici sous la forme de strips, ou de gags en une planche, les tribulations de Cathy, une petite fille pas vraiment modèle, mais franchement comique.
Borris,
de son vrai nom Boris Joly-Erard, est un auteur et illustrateur français de bandes dessinées. Diplômé d’une maîtrise en arts plastiques, il débute sa carrière en publiant des BD animalières dans le fanzine PLG, puis contribue à des ouvrages collectifs aux éditions Petit à Petit. En 2003, il s’aventure dans la science-fiction en collaborant avec Alain Damasio, réalisant une soixantaine d’illustrations pour le lancement de « La Horde du Contrevent » aux éditions La Volte. Son premier album, « Lutte Majeure », scénarisé par Céka, est publié chez Casterman en 2010. En 2018, il coécrit « Charogne » avec Benoît Vidal, un album récompensé par le Prix Polar du meilleur one-shot BD au festival de Cognac en 2018 et le Prix Quais du Polar à Lyon en 2019. En 2022, il publie « Albert Londres doit disparaître ». Parallèlement, Borris réalise des illustrations pour l’édition et la presse, enrichissant ainsi le paysage de la bande dessinée contemporaine.
Le secret de son dernier reportage.
Quand, en décembre 1931, Albert Londres embarque pour la Chine, nul ne sait vraiment ce qu’il part y faire. Aucun journal ne l’y a envoyé et ses concurrents se demandent ce qu’il va bien pouvoir rapporter comme scoop alors que Shanghai est au ceur du conflit sino-japonais. Après ses reportages qui ont fait grand bruit sur le bagne de Cayenne, sur la traite des Blanches en Argentine ou sur le traitement indigne des internés en hôpitaux psychiatriques, c’est un trafic d’armes et d’opium qu’Albert Londres va mettre au jour en Asie. Mais les révélations que s’apprête à faire le journaliste, « de la dynamite » de son propre aveu, dérangent en plus haut lieu, à commencer par l’amirauté de la Marine française, qui est impliquée dans ce trafic (qui sera connu plus tard sous le nom de French Connection !). Aussi, sa disparition dans le naufrage du Georges Philippar à son retour de Chine en mai 1932 laisse planer le doute sur le caractère accidentel de sa mort. Surtout quand on sait que ses amis, les époux Lang-Willar à qui il s’était confié sur le contenu de son reportage, vont périr accidentellement avant de pouvoir faire éclater au grand jour ce scandale d’État.
Entre biopic et fiction, Albert Londres doit disparaître est une proposition possible de Frédéric Kinder et Borris sur la fin tragique de celui qui, aujourd’hui encore, est considéré comme le premier grand reporter de l’Histoire.
Sa mort va leur faire vivre un enfer
Quelque part dans un petit village de montagne en Provence. Le maire Joseph, homme bienfaiteur et aimé de tous, vient de mourir. Comme il est du devoir du peuple de lui donner un dernier adieu digne de ce nom, quatre hommes sont missionnés pour transporter le cercueil auprès du curé afin qu’il donne sa bénédiction. Mais ce ne sera pas une partie de plaisir. La route pour l’église est difficile, elle passe par des chemins de montagne escarpés, ce qui attise les rivalités au sein du groupe.
1941. L’armée allemande lance l’Opération Nordlicht (« Aurore Boréale ») : la prise par les nazis de la ville de Leningrad (aujourd’hui Saint Pétersbourg). L’entreprise s’avérant vite impossible, l’attaque se transforme en siège, le plus long sans doute de toute l’Histoire : du 8 septembre 1941 au 18 janvier 1944, soit 900 jours ! Il fera 1 800 000 morts – mais jamais la ville ne tombera… C’est une partie de l’histoire de ce siège – et surtout de la résistance héroïque qu’opposèrent les Russes à leurs envahisseurs – que raconte Lutte Majeure, à travers un épisode presque dérisoire mais néanmoins hautement symbolique survenu en 1942 : l’ordre formel donné par Staline de reformer l’orchestre symphonique de la ville et de lui faire interpréter publiquement la 7e symphonie de Chostakovitch dans la ville assiégée, afin de galvaniser le patriotisme de la population. On savourera le titre choisi pour l’album par Céka et Boris Joly à la lumière du titre complet de cette oeuvre musicale : 7e symphonie « en ut majeur »… L’entreprise, à la limite de l’absurde, atteindra néanmoins ses objectifs : créer un petit moment d’éternité qui réussit, le temps de quelques mesures, à faire oublier toutes les privations aux assiégés. Et proclamer à la face du monde d’alors que l’URSS ne baisserait jamais les bras face à l’agression nazie. Voici donc, sous la forme d’une brillante fiction animalière, un fragment d’Histoire pure – en même temps, tout simplement, qu’une grande histoire en bande dessinée.
Al Coutelis,
est un dessinateur de bande dessinée français né en 1949. Il débute sa carrière dans les années 1970, après avoir travaillé dans la publicité et comme illustrateur. Il collabore avec de nombreux scénaristes, dont Jean-Pierre Dionnet, Pierre Siniac, Georges Wolinski ou encore Jean-Michel Charlier. Son style, réaliste et expressif, s’illustre dans des genres variés : polar, aventure, science-fiction ou satire politique. Il se fait connaître notamment avec la série “RTL présente”, puis avec “Bernard Lermite”, en collaboration avec Mandryka. Il dessine aussi “Baraka” dans Pilote et participe au Canard Enchaîné. Dans les années 2000, il travaille avec Jean-Claude Forest et relance la série “Polstar”. Coutelis est reconnu pour son trait nerveux, sa verve engagée et son humour mordant. Sa carrière s’inscrit dans la tradition de la BD adulte et contestataire.
La longue nuit de deux jeunes femmes que tout oppose dans le Paris désert de l’Occupation. Arlette sort de prison, heureuse d’être libre dans Paris occupé. Anna, magicienne, est flanquée à la porte du cabaret dans lequel elle se sentait à l’abri. Les chemins de ces deux femmes se croisent, le hasard sachant si bien organiser les rencontres inattendues. Autant Arlette est insouciante et légère, autant Anna semble se méfier de tout, comme si elle était traquée. Elles sillonneront en une nuit Paris, la ville lumière sans lumières, à la recherche de ce qui pourra leur sauver la vie, deviendront amies par la force des choses, ne pourront éviter les contrôles d’identité, les silhouettes sombres, les menaces diverses, les désillusions, toutes ces choses qui obligent à fuir, encore et toujours, jusqu’au lever du jour.
Jean-René Galopin est médecin de campagne en Aquitaine. Maire d’un village de 350 habitants, il décide de tenter sa chance dans la course à la députation. Contre toute attente, ce candidat sans étiquette est élu pour siéger à l’Assemblée nationale. Comme il s’était engagé dans cette législative partielle par bravade plus que par réelle ambition, Jean-René Galopin doit tout apprendre sur le tas. Et très vite. Il ne dispose d’aucun parti politique en mesure de le soutenir. Dans les premiers jours, le jeune élu de 41 ans se perd dans les couloirs du palais Bourbon. Le nouveau député va néanmoins peu à peu s’habituer à ce monde qui lui était jusqu’alors totalement étranger. Soutenu par un mystérieux mentor, il apprend tous les rouages de l’Assemblée nationale, de la meilleure façon de se faire remarquer aux accointances les plus compromettantes.
Des comme lui il n’y en a plus : le Grec, un flic anachronique, mi Jean Gabin, mi Robert Mitchum, se bat contre les travers d’une société pourrie.
Théophanos Papoutsonoukadar, dit le Grec, réalise un coup de filet dans les milieux islamistes, filet où il trouve un poisson étonnant : Marcel Guérini, truand converti à l’islam, avec qui il s’entraînait à la lutte il y a des années. Ce dernier lui remet un carnet couvert d’informations codées : des noms, horaires, quantités de livraisons de drogues pour des sportifs de haut niveau. Avec un comparse de Guérini, capturé alors qu’il tentait récupérer le carnet, le Grec entreprend de remonter ce réseau de drogue un peu spécial? Et le flic à la fois idéaliste et désabusé de citer Aldous Huxley : « Les dictatures du monde entier ne remercieront jamais assez l’Angleterre d’avoir inventé le football »?
Mais peu importe, car pour le Grec ce qui compte c’est la Justice. Et il la fera tout seul s’il le faut.
Un polar serré comme un expresso, proche dans le style et l’ambiance du culte Alack Sinner de Muñoz et Sampayo, rehaussé d’un argot à la française pas piqué des vers… En plus de son dessin chargé en émotion, Al Coutelis nous y livre ses réflexions désabusées sur notre société et ses dérives.
Nadine Debertolis
Née en 1984, Nadine Debertolis a parfois les pieds sur terre et le plus souvent la tête dans les nuages. Curieuse de tout, elle adore apprendre et voyager, puis transformer ses découvertes en histoires pétillantes. Elle n’est jamais en manque d’idées : si elle avait une baguette magique, elle mettrait le monde sens dessus-dessous avec des fleurs géantes, des pluies de sushis et des animaux bizarres chantant de l’opéra. Surtout, ne lui en donnez pas une ! Elle est l’autrice de La maison aux 36 clés et est publiée aux éditions Magnard jeunesse, Poulpe fictions, Gulf Stream, Marathon et Lito.
En faisant des recherches sur sa famille, Maé découvre une montre à gousset aux pouvoirs hors du commun. Lorsqu’elle en fait tourner les aiguilles, la jeune fille de 12 ans change d’âge et d’apparence ! Le plus curieux est que ce pouvoir ne fonctionne que sur elle, comme si Maé était liée à cet objet magique…
Elle se découvre bientôt au centre d’intérêts et de rivalités qui la dépassent, et voit sa propre vie menacée. Heureusement, elle noue également de fortes amitiés. Accompagnée de Raphaël, Emma et Léandre, Maé saura-t-elle percer à temps le secret des Enchanteurs ?
Des ruelles lyonnaises à celles de la Toscane, une cavale haletante et pleine de magie au cœur d’un secret millénaire.
Un crime. Cinq adresses, cinq chapitres. Des indices à collecter… et un coupable à débusquer. Vais-je réussir à lever le voile sur cette affaire ?
Chaque été, le programme est le même : direction l’île de Ré ! Mais au lieu de m’accueillir en souriant, ma tante Laura est lugubre. Il y a eu un drame avant-hier. Un assassinat. La victime ? Hugo Jalabert, qui s’était installé ici quelques mois auparavant et restait un mystère aux yeux de tous. Quant à la présumée coupable ? Ma tante elle-même ! Moi, Romain, aussi téméraire que têtu, ne compte pas l’abandonner à son triste sort. Je vais mener l’enquête et trouver le véritable meurtrier. Pour cela, il me faudra percer les secrets de la victime elle-même. Suis-je prêt à braver vents et marées pour faire éclater la vérité ?
Illustré par Aurélien Galvan.
Au moment d’éteindre la lumière, Mila fait un voeu : elle aimerait tellement avoir des pouvoirs magiques. Soudain, dans un tourbillon d’étincelles, Alizée, la fée de son livre surgit d’entre les pages : » Tu crois que tu n’as pas de pouvoirs magiques ? Tu en as cinq ! Suis-moi, je vais te montrer. » Une forêt, haute en couleur, le clapotis des vagues sur la plage, une délicieuse fontaine où coulent toutes sortes de chocolats, un champ de fleurs aromatiques et la texture douce et réconfortante de la fourrure des marmottes….
Adrián Fernández Delgado
né en 1980 à Grenade, en Espagne, est un auteur de bande dessinée, illustrateur et animateur. Il a étudié les beaux-arts de 1998 à 2002, puis l’animation traditionnelle et le cinéma à Madrid de 2002 à 2005. Après avoir travaillé comme designer, animateur et illustrateur indépendant, il se tourne vers la bande dessinée en 2008 en collaborant avec Ankama Éditions. Il y illustre notamment “Wakfu Heroes: Le Corbeau Noir” en 2010 et la série “Remington” de 2010 à 2011. Par la suite, il participe à des projets tels que “Tangomango” (2013-2014) et “L’Orphelin de Perdide” (2018-2019). Son style dynamique et expressif lui permet d’aborder des univers variés, de la fantasy à la science-fiction. Il est reconnu pour sa capacité à donner vie à des mondes imaginaires riches et détaillés.
Petigré veut rester louve et tente de le faire seule, loin de la cérémonie officielle. La générale Trycia pactise avec le groupe des Masculinistes pour prendre le pouvoir. Gramp, la mère de Petigré qui la croit morte, intrigue pour monter sur le trône à la place de son mari malade. C’est sur des battantes que repose cette série d’heroic fantasy : des filles et des femmes qui s’assument, n’ont peur de rien, défient leur père, la tradition et même les loups, métaphore du patriarcat. Une fin de trilogie emmenée par des femmes puissantes.C’est l’heure des ultimes complots et chasses au trésor, dans l’univers de Petigré, le prince-loup qui voulait rester louve et refusait le trône. L’heure de la conclusion d’une saga aussi moderne qu’épique !
Après avoir été contraint d’atterrir en catastrophe sur Gamma 10, Max réussira-t-il à rejoindre Perdide et à secourir le petit orphelin avant qu’il ne succombe aux nombreux dangers de la planète ? Avant de partir à la recherche de Belle, qui s’est enfuie en emportant le seul moyen de communication avec Claudi, Max confie le vaisseau à Silbad et programme son décollage automatique vingt-quatre heures plus tard. Ce laps de temps lui suffira-t-il pour retrouver l’appareil de télécommunication subspacienne ?
Elaine et Encre Noire naviguent enfin à bord du légendaire Singe Hurleur, prêts à participer au XVIe Tounoi Pirate. À eux le plus grand trésor qui ait jamais été enterré aux Eaux Tièdes ! Mais en route, nos apprentis pirates mettent le feu aux poudres en défiant le terrible Poupo et son escorte, les puissants et magiques Vovodouns… Aujourd’hui plus que jamais les Eaux Tièdes bouillonnent, brasier infernal attisé par la rage de chacun. Qui engloutiront-elles à l’issue de cet ultime combat ?
Josselin Duparcmeur
né le 1er Janvier 1991 en France, il a intégré l’école Émile-Cohl de Lyon, dont il est sorti diplômé en 2015. Aujourd’hui, il est dessinateur et membre de l’association Millefeuille qui regroupe une dizaine d’artistes. Également membre de l’Épicerie Séquentielle, association d’auteurs de bandes dessinées lyonnais et maison d’auto-édition
Dieu n’en a que faire des Anglois ou du royaume de France et la Pucelle a tout compris de travers. Il s’incarne alors en lui-même, un vieil homme barbu (ce qui a le don de décevoir Jeanne qui s’attendait à un bel homme bien musclé) et décide d’accompagner la jeune fille dans son périple, avant tout pour tenter de tempérer son ardeur. Mais il se fera bien entendu dépasser par la ferveur de Jeanne…
Une série de 4 BD qui a pour but de faire connaître au public les épisodes marquants et symboliques de l’histoire des maquis de l’Ain et du Jura.
« Bourg-en-Bresse, Lalande se rebelle », 4e édition de la Collection « L’Ain : Résistance et Déportation » nous invite à revivre les années de lutte d’un noyau résistant créé au lycée Lalande de Bourg-en-Bresse en 1940, parmi eux, Pierre Figuet, Paul Morin et Jean Marinet.
Ils participent à de nombreuses actions dont l’importance est soulignée par l’intervention de la Milice le 5 juin 1944, arrêtant certains élèves et professeurs.
Le lycée Lalande est le seul lycée civil de France à avoir obtenu la médaille de la Résistance française par décret du 3 octobre 1946.
À la fois hommage à des destins tragiques et témoin d’un engagement résistant, cet ouvrage doit aussi concourir à éveiller les consciences de nos jeunes.
Bettina Julia Egger
née le 17 février 1981 en Autriche, est une artiste et autrice de bande dessinée résidant à Rennes, France. Après des études en arts plastiques à l’université de Rennes, elle obtient son master en 2006. Depuis 2007, elle expose ses gravures et planches de BD en France, Autriche et Russie. En 2009, elle publie « No Border » aux éditions du Monde Libertaire. Elle participe régulièrement à des fanzines et magazines, réalise des dessins de presse et des affiches pour le milieu associatif. En 2011, elle initie le projet collectif « Frank Zappa en BD ». En 2012, son adaptation du « Dragon » d’Evguéni Schwarz reçoit le prix Alterna’BD au festival de Lyon. Passionnée par la langue et la littérature russes, elle s’inspire de ses voyages en Europe de l’Est pour ses œuvres. En 2019, elle accompagne une mission archéologique en Arménie, expérience qu’elle retranscrit dans sa BD « Aramus – À la recherche d’une civilisation perdue », parue en 2022.
Bettina Egger a eu la chance d’accompagner une équipe de l’Université d’Innsbruck dans sa mission de fouilles, à la découverte d’une civilisation peu connue : les Ourartéens. Loin des clichés, on découvre le quotidien d’une équipe d’archéologues sur les traces d’un royaume qui, à son apogée, s’étendait sur un territoire aujourd’hui réparti entre la Turquie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan iranien. Un voyage tout simplement passionnant.
“L’atelier d’Emmanuel Guibert est un endroit mythique pour une interview de l’artiste.
Une petite pièce étroite remplie de nombreux livres.
Une grande table à dessin. Des bandes dessinées, des romans mais aussi une collection de ses propres ouvrages dans différentes langues.
Dans un rayon, je crois voir beaucoup de carnets de croquis… “.
C’est ainsi que commence le livre d’entretien de Bettina Egger où elle décode pour nous le travail de reportages dessinés réalisé
par Emmanuel Guibert.
Strasbourg, fin des années vingt, le professeur Paul Niort, docteur en zoologie et chasseur de monstres et curiosités diverses reçoit une étrange lettre du Tyrol lui signalant l’existence d’un grand ver avec deux pattes et une tête de chat… Le voilà parti dans les montagnes à la recherche du Tatzlwurm. Cependant en Autriche à cette époque, il y a une monstruosité d’un autre genre qui voit le jour…
Jean-Luc Fornelli
Homme de plume, de scène, de médias et aussi d’action, Jean-Luc Fornelli, alias Gossip, nous régale de son humour poétique depuis 1999 ! Inventeur du haïkuku suisse sous le pseudo de Gossip (eh oui, c’était lui !), il a publié récemment » Les Aigrettes » journal d’un poète givré même l’été . Organisateur de lectures publiques, vivantes, coquines et joyeuses aux commandes de La Bonne Compagnie, Fornelli nous surprend une fois de plus avec « L’étrange Bestiaire « ,aussi insolite que comique, qui ne manquera pas de muscler vos zygomatiques !
Photo © Laurent Dubois
Les textes ciselés de Jean-Luc Fornelli, associés aux dessins de Giemsi, donnent une saveur et un ton très piquant à ce petit livre de la Collection « Carrément ». Les définitions, teintées d’humour et de poésie, agrémentées de dessins animaliers, se dégustent sans modération ! L’Étrange Bestiaire nous fait voyager au pays des animaux, vous savez, cette espèce bientôt disparue …
Ces bêtes alors !
Textes de Jean-Luc Fornelli, Dessin Jo Ted
Collection Carrément
Michel Jans
est un scénariste de bande dessinée français reconnu pour son style graphique expressif et ses récits empreints d’humanité. Né en 1954, il débute sa carrière dans l’illustration avant de se tourner vers la BD dans les années 1980. Il se fait connaître avec la série Le Passeur, saluée pour sa finesse narrative et son sens du détail. Influencé par la littérature et le cinéma, Michel Jans explore des thèmes profonds tels que la mémoire, la transmission et l’identité. Son trait, à la fois sobre et évocateur, sert des histoires souvent intimistes. Il collabore avec divers scénaristes et éditeurs indépendants, tout en publiant aussi des œuvres plus personnelles. Passionné par l’enseignement, il anime des ateliers de bande dessinée et accompagne de jeunes auteurs. Ses albums sont traduits dans plusieurs langues. Aujourd’hui, Michel Jans continue de dessiner et d’écrire, avec une sensibilité toujours aussi singulière.
En Transylvanie subcarpathique un jeune vampire transi découvre l’amour dans les bras d’une pimpante sorcière… Las, l’ogre Proutinoff n’est pas du tout ému par cette idylle.
Capucine met en scène une Roumanie de contes de fée où un petit vampire voulant cesser d’importuner les jeunes filles ne doit son salut qu’à l’amour d’une pimpante sorcière. Comme dans toutes les fables il y a un méchant ogre : Proutinoff. Et ce dernier ne voit pas d’un bon oeil cette idylle. Dans la bonne humeur cette histoire se termine par un mariage folklorique tandis que l’affreux Proutinoff ratera lamentablement son « opération spéciale ».
Gargantua voyage à travers la France, ses pas le conduisent en Chartreuse où le sombre Comte Fierabras persécute les paysans, on y apprendra comment une terrible colique sera à l’origine de l’Aiguille de Quaix en Chartreuse…
Trois marmottes et un serpent ! Pas très glorieux comme retour de chasse. La tribu s’en remet à son grand sorcier. Lors d’une soirée bien arrosée de liqueur verte, il décrète que pour ramener plus de gibier, il faut verser le sang d’un ours !
Mais depuis des lunes, on ne voit plus d’ours en Chartreuse. Le groupe des chasseurs se met en quête du roi de la montagne. Ogrour est trop petit pour être de l’aventure, mais il va suivre en cachette ses aînés.
JIM (Thierry Terrasson)
est un auteur et scénariste de bande dessinée français, né en 1971. Passionné par le dessin depuis son enfance, il se forme à l’école des Beaux-Arts avant de se lancer dans la bande dessinée dans les années 1990. Il se distingue par un style graphique dynamique et une narration qui mêle souvent l’humour et le fantastique. Sa première série, « Les Montagnes Hallucinées », publiée dans les années 2000, lui permet de se faire un nom dans l’univers de la BD. Il est également connu pour ses collaborations avec différents auteurs et pour son travail sur des albums jeunesse. Thierry Terrasson aime explorer des genres variés, allant de l’aventure à la science-fiction, tout en abordant des thématiques profondes et universelles. Son univers graphique est souvent caractérisé par des couleurs vives et des personnages expressifs. En dehors de la bande dessinée, il participe également à des projets d’illustration et de graphisme.
« A 50 ans, tu crois qu’on vivra encore de belles choses ? »
Dix années après leur première nuit à Rome, Marie n’a pas réussi à honorer son second rendez-vous avec Raphaël. Cette nuit en Italie aura été à mille lieues de ce qu’elle imaginait…
Et puis, peut-être certaines promesses sont-elles trop difficiles à tenir…?
Aux premières lueurs du jour, Marie quitte la vieille ville pour regagner l’aéroport… Elle ne sait pas encore que Raphaël va tout tenter pour inverser le cours des choses. Malgré l’âge, malgré le temps des deuils et des renoncements, et la vie qui complique tout…
C’est l’histoire d’un homme qui court après une femme quand tous les signes lui disent de renoncer. C’est une promesse qui ne veut pas s’éteindre. C’est un amour de jeunesse qui refuse de grandir.
Une histoire sur nos icebergs et sur le désir de ne pas sombrer sous la surface.
Romy est institutrice. Benjamin est un jeune sculpteur qui prépare sa première exposition. C’est lors d’un week-end à Cadaqués que l’impensable va se produire. L’Étreinte, c’est l’histoire d’une inconnue prise en photo sur une plage. C’est une histoire d’adieux. C’est l’histoire de gens qui s’effleurent. Et de certaines émotions. De belles émotions.Et de celles qu’on préfère taire. Portée par deux talents de la bande dessinée, L’Étreinte est un choc graphique qui serre le cœur. Un livre rare et ambitieux, que l’on porte longtemps en soi après sa lecture.
“Ne cherchez pas mon cœur, il ne bat plus.”
C’étaient vos années d’études à Londres. Vous rêviez tous de devenir des rois de la finance. Et puis, tu as rencontré Zoé… Tu te souviens des rues bondées, des pubs bruyants de Covent Garden, des rires qui claquaient au rythme des shooters, et des nuits qui duraient quarante-huit heures. Aujourd’hui, les visages familiers ont changé, et certains ne reviendront plus. Aujourd’hui, c’est une fête insensée dans un manoir, c’est le bruit des retrouvailles, et l’ombre du deuil qui plane sur ceux qui s’imaginaient invincibles….
Jo Ted (Nicolas Sjöstedt)
Né en 1964 Dessinateur de BD Britannique et Suisse, de retour en Suisse après dix ans passés à Paris comme directeur artistique dans la publicité, Nicolas Sjöstedt, alias Jo Ted, s’est d’abord fait connaitre comme dessinateur de presse avec ses collaborations au journal satirique Saturne et au quotidien Le Matin. Dessinateur du journal satirique Vigousse, de sa création à début 2019, il a également travaillé comme réalisateur et a longtemps collaboré au Musée d’ethnographie de Neuchâtel en qualité de scénographe.
Côté bande dessinée, il a publié Aho Hito une œuvre franco-japonaise, aux éditions Confort Modern, ainsi qu’Oreiller de chair fraîche, chez l’éditeur suisse Hélice Hélas. Il publie en 2020, aux éditions Favre, sur un scénario de son frère Yvan (alias Ted), une bande dessinée sur le faux monnayeur Farinet. Notons encore qu’il a illustré, en 2018, Contes et légendes du Jura, un recueil édité par les éditions Slatkine sur des textes d’Aurélie Reusser-Elzingre. Particulièrement investi dans la cause des migrants et la défense du dessin de presse ici et ailleurs, il participe, aux côtés de Barrigue et Pitch Comment et à l’association Dessiner pour tous. Il a aujourd’hui mis de côté son travail de dessinateur de presse de côté, pour se consacrer à ses travaux de bande dessinée et d’éditeur.
Texte © SCAA
Lorsque le procureur Jemsen se réveille à l’hôpital, il ne lui reste que quelques bribes de souvenirs : le centre-ville de Neuchâtel, la terrasse d’un café, des visages souriants, puis l’explosion. Ensuite, le trou noir. Tandis que le procureur, aidé de sa greffière, tente de remonter le fil de sa mémoire pour comprendre qui était visé par la bombe, deux policiers se lancent sur les traces d’un mystérieux tueur en série qui sévit dans la région. On le surnomme Le Vénitien à cause d’un procédé singulier : il coule du verre…
Parcours exemplaire d’un artiste maudit qui parcourt le XXe siècle avec, systématiquement, un temps de retard – c’est bien là la « malédiction » dont il est le sujet. Tour à tour impressionniste, moderne, conceptuel, l’artiste maudit croisera sur son chemin, jaloux, d’autres qui ont réussi : Picasso, Sartre, Wahrol…
Nicolas Juncker
né en 1973, est un auteur français de bande dessinée. Après des études d’histoire, il devient dessinateur de presse, puis enseigne la bande dessinée au conservatoire des Arts de Saint-Quentin-en-Yvelines et d’Ivry-sur-Seine. En 2003, il publie sa première bande dessinée, “Le Front”, suivie de “Malet” en 2005 et de “D’Artagnan, Journal d’un Cadet” en 2008. En 2015, il reçoit le prix Cases d’Histoire pour “La Vierge et la Putain”, un diptyque sur Marie Stuart et Élisabeth Tudor. Plus récemment, il scénarise “Un général, des généraux” en 2022, illustré par François Boucq, qui retrace le coup d’État de mai 1958 en Algérie. Juncker est reconnu pour ses récits historiques approfondis et son approche pédagogique du neuvième art.
© Photo Alban Couturier
Le maire d’un petit village français a une idée lumineuse : profiter du décès d’un célèbre photographe pour construire le tout premier mémorial de la guerre d’Algérie. Simple, non ? Pas vraiment… Chapeauté par une historienne pointilleuse et un artiste en quête de grandeur, les tensions qui explosent à chaque coin de rue risquent bien de transformer rapidement le projet en un véritable cauchemar. Quand l’Histoire divise, la commémoration devient une comédie.
Vif d’esprit, habile bretteur et cavalier émérite, le dragon Pierre-Marie Dragon a tout pour devenir un héros des guerres de la Révolution française. Toutefois, si vous ne trouvez aucune mention de son nom dans les manuels scolaires, c’est parce que les seules aventures au-devant desquelles le dragon Dragon court activement sont d’ordre purement sexuelles. Les honneurs d’une grande bataille ne l’intéressent pas et, aux médailles, il préfère les espèces sonnantes et trébuchantes.
3 Tomes parus
Mai 1958. Alger s’embrase contre un nouveau gouvernement qui, à Paris, semble prêt à dialoguer avec les indépendantistes. Des milliers de colons se soulèvent, obligeant l’armée et ses généraux à choisir leur camp : rester loyaux à l’état ou à l’Algérie française, dernier vestige du grand empire colonial Français.
Dépassés et galvanisés par la situation, les généraux s’embarquent dans un coup d’état qui devient rapidement incontrôlable… Et si seul un vieil homme à la retraite, le « dernier héros français », était capable d’arrêter cette machine folle et éviter une guerre civile ? Ce vaudeville politico-militaire donnera les clés du pouvoir à de Gaulle et sa Ve République… car juré-craché, « le Général » l’a promis à toutes et à tous : cette fois, il les a compris.
Nicolas Keramidas
est un auteur de bande dessinée français né en 1972. Passionné par le dessin dès son enfance, il intègre l’école des Gobelins et débute sa carrière dans l’animation chez Disney. Après plusieurs années dans ce domaine, il se tourne vers la bande dessinée et publie Luuna en 2002 avec Didier Crisse. Son style dynamique et expressif séduit rapidement le public. Il collabore ensuite avec des auteurs comme Lewis Trondheim sur Mickey’s Craziest Adventures et Donald’s Happiest Adventures. Son travail, souvent marqué par un trait fluide et un humour décalé, lui vaut une reconnaissance dans le milieu. Artiste polyvalent, il explore également des univers plus personnels, comme dans Amitié étroite. Toujours en quête de nouveaux défis, il continue d’enrichir le monde de la BD avec son talent et sa créativité.
Nicolas Keramidas est atteint d’une malformation cardiaque à la naissance, la tétralogie de Fallot, ce qui l’oblige à subir une opération délicate et surtout inexpérimentée en 1973 : il devient ainsi le premier bébé en France à être opéré à coeur ouvert. 43 ans plus tard, lorsque son coeur s’emballe sur un terrain de foot, le mal se réveille et le conduit vers une nouvelle opération à coeur ouvert. Une expérience angoissante et douloureuse qu’il parvient à surmonter avec sa femme, Chloé, qui, comme lui, a tenu un carnet au jour le jour. C’est à partir de ces notes qu’il retrace en détails toutes les étapes de cette descente aux enfers médicale jusqu’à sa sortie définitive de l’hôpital.
Mickey’s Craziest Adventures est une histoire oubliée qu’auraient retrouvé par hasard Lewis Trondheim et Nicolas Keramidas. Une série d’épisodes en une planche parus en 1965 qui, mis bout à bout, forment une histoire au long cours… Sauf qu’ils n’ont pas pu en retrouver l’intégralité ! Les auteurs ont donc été contraints de nous proposer un fac-similé « incomplet » qui, dans un tour de force narratif, nous fait jouer à imaginer les séquences manquantes. Quoi qu’il en soit, ils livrent une histoire qui se lit d’une traite, où humour et aventure se conjuguent à la perfection !
Un matin comme les autres : Donald se lève de la patte gauche et reçoit un appel de Picsou. Après leurs aventures aux quatre coins du monde avec Mickey, son oncle a besoin de lui pour une nouvelle chasse au trésor. Mais Donald se rend compte que, peu importe l’étendue des richesses qu’il lui envoie chercher, son oncle ne sera jamais satisfait. Picsou a beau être un vieux canard pingre et acariâtre, il veut la même chose que tout le monde : le bonheur. Aussi décide-t-il d’envoyer son neveu à la recherche de cet inestimable trésor ! Mais pour le colérique et malchanceux Donald, trouver le secret du bonheur semble mission impossible…
Alessandro Manzella
est un illustrateur et auteur de bande dessinée italien, originaire de Bologne. Spécialisé dans la peinture numérique, il a d’abord travaillé dans l’illustration de cartes de jeu. En 2025, il publie son premier album de bande dessinée, « Nuits Romaines », un polar sombre scénarisé par Luigi Boccia et édité par Mosquito. Son style graphique, rappelant des artistes comme Scott Hampton ou Ashley Wood, est salué pour sa modernité et sa puissance évocatrice. Manzella maîtrise les tons sombres et les ambiances intenses, ce qui confère à ses œuvres une atmosphère unique. « Nuits Romaines » révèle son talent exceptionnel et laisse présager une carrière prometteuse dans le domaine de la bande dessinée
Flavio, vingt ans d’enquêtes éprouvantes comme inspecteur de police, se trouve confronté à l’assassinat de deux enfants. Les nuits romaines sont particulièrement effrayantes quand le passé et la monstruosité remontent à la surface.
Un polar noir mené de main de maître avec un graphisme réaliste très pictural.
Dans la banlieue de Rome, l’inspecteur Flavio enquête sur le meurtre d’un enfant.
Son collègue Marghereti le contacte en pleine nuit. Une fresque fait directement allusion au crime. Elle représente une « femme arbre » noire, tenant par la main deux enfants aux visages gribouillés. Sur le côté, une comptine malsaine débute par « Qui a peur de l’homme en noir…».
Les policiers récapitulent les événements. Ils ont retrouvé le corps du petit Mattia, enterré dans un bois, près de sa bicyclette. Quatre jours plus tard, les parents de Melania Bordoni ont signalé la disparition de leur fille. Maintenant, sur cette fresque, les vêtements des deux enfants correspondent à ceux portés par les disparus.
Les inspecteurs interrogent le voisinage pour en savoir plus sur la fresque. Un adolescent a été témoin de sa réalisation. Il paraît évident que c’est une provocation du tueur…
Oriane Masserey
En 2021, Orianne Masserey obtient un Bachelor européen en Bd & illustrations à Ceruleum. Voyager et dessiner étant ses passions, elle va faire le tour de l’Atlantique en voilier et se lancer dans le projet de bande dessinée Terres en vue, sorti en mars 2025 aux éditions Utopie.
Elle se lance en freelance et évolue en tant que graphiste illustratrice, répondant à divers mandats, notamment pour la Santé Publique Vaudoise et l’Office cantonal de l’environnement de Genève. Elle enseigne également à l’école Canvas.
Elle illustre en 2024 l’album Cultures, l’agriculture romande pour tous pour les édition Jobé Truffer et travaille actuellement sur un autre album, sortie prévue en fin 2025.
Oriane a un grand rêve, un rêve qu’elle décide un jour de réaliser contre vents et marées : traverser l’Atlantique à la voile, en bateau-stop.
De la recherche d’un équipage aux petits tracas du quotidien en mer, des ciels nocturnes éblouissants aux aléas de la cohabitation en milieu clos, Oriane nous embarque dans son périple avec un humour décapant.
Sans agriculture, pas de nourriture !
Une bande dessinée qui explique quelles sont les pratiques actuelles des paysannes et des paysans du canton de Vaud ainsi que de Suisse romande.
Dans cet ouvrage didactique imaginé par Prométerre, l’Association vaudoise de promotion des métiers de la terre, Marion Correvon et Oriane Masserey ont conjugué leurs talents afin d’expliquer de façon pédagogique, mais approfondie, les contraintes et les défis de la production alimentaire du 21e siècle.
En compagnie d’Olivier et de ses jumeaux, des urbains intéressés par le contenu de leurs assiettes, partez à la découverte du quotidien de Pauline, une agricultrice qui cultive des céréales et élève poules pondeuses et alpagas.
Climat, biodiversité, produits phytosanitaires, autosuffisance alimentaire, pertinence de l’élevage, labels, fertilité du sol, relations avec les consommateurs, nouvelles technologies agricoles : cet ouvrage répond à presque toutes les questions que peuvent se poser petits et grands.
Fanny Modena
née en 2000 en Haute-Savoie, est une illustratrice, autrice de bande dessinée et sérigraphe française. Après avoir obtenu son diplôme à l’École Supérieure de Bande Dessinée et d’Illustration (ESBDI) de Genève en 2021, elle s’est installée en Suisse, où elle travaille à l’Usine Kugler. Son univers artistique se distingue par des couleurs vives et un style naïf, mêlant abstraction poétique et réflexion. En 2022, elle publie « Cocktail », une bande dessinée jeunesse abordant les thèmes de la différence et de l’acceptation. Son ouvrage suivant, « Jungle », traite de l’autisme chez les femmes. Passionnée par la sérigraphie, Fanny Modena réalise des impressions artisanales et anime des ateliers de découverte de cette technique.
Gabi a 26 ans.
26 années passées à masquer ce qu’elle est et ce qu’elle ressent, à se perdre dans un monde qui lui échappe. Aujourd’hui, elle tient entre ses mains un diagnostic : trouble du spectre de l’autisme. À travers lui, elle revisite sa vie. Ses luttes et son féminisme, ses joies, ses peurs et les obstacles invisibles qu’elle affronte chaque jour, encore et encore.
Gabi est une femme et Gabi est autiste.
Pour elle, la vie est une jungle.
Un jeune singe jaune n’a jamais quitté sa communauté. Il y vit avec sa famille où tout le monde est jaune, et tout semble parfait. L’apparition soudaine d’un oiseau bleu va perturber ses croyances et le pousser à l’aventure, dans un monde multicolore et diversifié.
Chaque illustration gravite autour d’un univers coloré, allant des couleurs pastel aux couleurs les plus pop.
Ohazar (Rodolphe Lupano)
est né en 1970. Illustrateur, graphiste et coloriste, il a illustré de nombreux guides humoristiques ainsi que des séries comme « Les retraités en BD » et « Les Grands-Parents en BD ». Il est le dessinateur de « L’A Révolution » et « L’Hutopie » sur un scénario de Jean-Christophe Tixier. Il est aussi peintre : ses toiles mettent en scène un personnage, le « Runner », et des créatures fantasmagoriques, les « Insectoïdes
Vikings dans la brume – Tome 3 Même pas morts
C’est la rentrée pour Reidolf, le redoutable chef Viking, et sa bande de bras cassés ! Quand on raid, on ne compte pas et les revoici partis à la conquête de nouveaux butins.
Mais même chez les Vikings, la famille, c’est sacré, et lorsqu’un chef concurrent a l’outrecuidance d’enlever des membres du clan de de Reidolf, ce dernier va montrer de quel bois il se chauffe !
Entre crise de foi et crise de rire, les frères Lupano nous livrent un 3e tome hilarant !
L’Hutopie, suite de L’A Révolution.
Ni date pour cette histoire.
Ni lieu précis pour ce pays.
La chute d’une terrible dictature a laissé la possibilité à un rêve nouveau d’émerger : une société où la voix de chacun compterait, une utopie.
Mais ce système qui semble idéal, présente des failles, et se retrouve menacé.
Luana et Antoine vont mettre tout en œuvre pour sauver cette utopie. Mais les voies qu’ils empruntent diffèrent et, très vite, ils se retrouvent dans des camps opposés qui vont s’affronter.
Une BD pour le plus répandu des métiers!Il y a quinze millions de retraités en France… et vingt-cinq millions de salariés qui aimeraient être à leur place. Retrouvez-les en pleine forme dans ce nouveau volume qui ne manque pas d’humour ! Des retraités qui entretiennent leur cerveau à dose de Sudokus et d’autres qui prennent soin de leur corps en cavalant pour emmener leurs petits enfants à la piscine, à l’équitation ou à mille autres activités sportives. Des retraités qui profitent de leur liberté pour faire de nouvelles expériences du genre saut à l’élastique et ceux qui n’arrivent pas à décrocher. Cette série de gags en une planche raconte les mille et une facettes du plus répandu des métiers : la retraite. Des albums à lire par ceux qui ont les doigts de pied en éventail (il faut les occuper), ou à offrir à ceux qui y partent : ils sont 600 000 chaque année !
Roshanak Ostad
est une artiste multidisciplinaire, illustratrice et autrice franco-iranienne. Diplômée de l’École Supérieure des Arts Appliqués Duperré à Paris, elle a exposé ses œuvres dans des villes comme Paris et Istanbul. Parmi ses projets artistiques notables figurent “Frozen Memory”, “Teabag Talk” et “Natural Reflection”, qui explorent des thèmes tels que la mémoire des migrants et notre relation avec la nature. En tant qu’illustratrice, elle a créé des œuvres telles que “Mademoiselle Lune” et “L’Histoire du Pêcheur”. Roshanak est également gérante du Yalda Concept Store, une boutique mettant en avant des créations artisanales et artistiques. Son travail reflète une fusion de ses héritages culturels et une sensibilité aux questions contemporaines.
“Frozen Memory” est un projet qui questionne l’écart entre la réalité du temps et la mémoire, et ce que nous aimerions garder pour nous-mêmes. Dans ce projet, j’ai créé une mise en scène d’objets pour explorer la réalité de notre mémoire. Il y a une beauté sans effort là où la mémoire rencontre la réalité, et l’existence physique rencontre nos rêveries mélancoliques.
« Pour montrer ce contraste, j’ai rassemblé différents objets, principalement des jouets, et les ai congelés dans de l’eau pour représenter comment nous fixons un souvenir de quelque chose dans nos esprits. En même temps, la glace se transforme et change avec le temps, faisant allusion au temps et à ses effets sur tout. »
Mademoiselle Lune vit dans les nuages. Elle aime se promener dans le ciel et découvrir le monde. Un jour, Madame Soleil lui demande d’éclairer la Terre lorsqu’elle n’est pas là. Aidée de sa baguette magique et munie de ses chaussons rouges à pompons, elle part répandre sa propre lumière, la clarté de la Lune…
Particules Elemantaires utilise la peinture pour capturer le mystère et la beauté de l’infiniment petit, révélant des réalités cachées qui échappent à l’œil nu.
À travers ces représentations, je vous invite à une réflexion sur notre place dans l’univers et sur la manière dont nous interagissons avec le monde et les autres, soulignant l’interconnexion de toutes choses.
Oz Bayol
Lorenzo Oz dit Oz Bayol est un auteur de bande dessinée français au style singulier et poétique. Passionné par le dessin depuis l’enfance, il développe très tôt un univers graphique riche en émotions et en symboles. Autodidacte, il puise son inspiration dans la littérature fantastique, le cinéma d’auteur et les contes initiatiques. Il publie ses premières planches dans des fanzines avant de se faire remarquer par un éditeur indépendant. Son œuvre se distingue par une narration onirique, souvent teintée de mélancolie, et un trait délicat, presque gravé. Ses albums, comme Le Souffle des pierres ou L’Arbre aux murmures, explorent des thématiques telles que la quête de soi, la mémoire et le passage du temps. Très impliqué dans la scène alternative, Lorenzo Oz collabore également avec des musiciens et des poètes pour des projets hybrides. Aujourd’hui, il est reconnu comme une voix originale de la BD contemporaine.
Un jeune citadin basané, avec une bonne situation, vient de se faire plaquer. Il prend la route pour faire le vide lorsque, soudain, un dromadaire surgit, envoyant la voiture dans le décor. Malgré les ennuis qui s’accumulent et une irrésistible envie de rentrer chez lui, une question persiste dans son esprit : » Que fait un dromadaire dans une forêt ? «
Rodrigue
est un scénariste et dessinateur de bande dessinée français, né en 1961. Passionné par l’illustration et l’histoire, il commence sa carrière en travaillant sur des albums humoristiques et historiques. Il se fait notamment connaître pour avoir repris la série Clifton, célèbre BD franco-belge, après Turk et De Groot. Il collabore également à des séries comme Les nouvelles aventures de Cubitus, prolongeant l’œuvre de Dupa. Son style, alliant dynamisme et humour, séduit un large public. En parallèle, il s’intéresse à la transmission du savoir en enseignant le dessin et la narration graphique. Son travail reflète un amour du détail et un respect des traditions de la BD classique. Toujours actif, il continue de participer à divers projets éditoriaux.
On a beau être un parangon de flegme et de bonne éducation « Made in Great Britain », on n’en reste pas moins un homme de chair et de sang ! Bob de Groot aux scénarios et Michel Rodrigue aux dessins assurent une très belle reprise de « Clifton » avec l’ajout d’un nouveau personnage non dénué de charme : Jade, nouvelle associée du colonel-détective.
Fabien Rypert
est un auteur et illustrateur de bande dessinée français, reconnu pour son travail dans le domaine de la BD indépendante. Né dans les années 1980, il se passionne très tôt pour le dessin et la narration visuelle. Après des études en arts graphiques, il commence sa carrière en travaillant sur des projets divers, explorant des styles variés. Son univers graphique se distingue par sa simplicité, son sens du détail et une forte influence du manga, tout en conservant une certaine touche européenne. Parmi ses œuvres marquantes, on trouve « Les Nouvelles Aventures de Raymond », une série qui mêle humour et réflexion sociale. Au-delà de la BD, Rypert s’illustre également dans des projets d’illustration et de design. Son travail est souvent apprécié pour sa capacité à créer des personnages attachants et des ambiances immersives. Adepte de l’auto-édition, il participe activement à la scène alternative de la bande dessinée, cherchant à repousser les frontières du genre.
Suite à la récupération, par notre héros Plaf, d’un document faisant état d’un trésor caché.
Nos amis Boogy, Rana, Plaf et les autres partent pour une chasse à l’or qui les mènera de leur étang jusqu’à Etretat puis à Essaouira au Maroc.
Un périple quelque peut singulier car les énigmes vont s’enchaîner les unes après les autres. Au final, ce trésor tant espéré sera t-il à la hauteur de leurs attentes ?
Une belle aventure mettant en scène la belle ville d’Essaouira, une ville aux mille facettes artistiques.
Zar le voyageur intersidéral rencontré dans le T5 est en mauvaise posture sur la planète Coram. Boogy et sa troupe vont partir vers les étoiles à son secours mais vont se trouver confronter à une dévoreuse de mondes. Une planète noire. Il va falloir délivrer leur ami mais aussi sauver le peuple Ariouasse, esclave des Gluans (crapauds de l’espace) avant que la menace noire ne soit sur eux.
Tome 22 des avanrtures de Gaspard de Besse, dessiné par Behem et colorisé par Fabien Rypert. Gaspard poursuit son idéal de justice, mais se rend vite compte qu’il a des ennemis.
Avril Tembouret
est un réalisateur et scénariste français, né au début des années 1990. Passionné de cinéma dès son jeune âge, il se forme à la réalisation avant de se lancer dans des projets indépendants. Son travail se caractérise par une recherche de l’intensité émotionnelle et une esthétique visuelle soignée. Tembouret est reconnu pour sa capacité à mêler poésie et réalisme dans ses récits, souvent tournés vers des questionnements sociaux ou humains. Son premier long-métrage, « Les Échos du silence », a marqué un tournant dans sa carrière, lui valant une reconnaissance critique. À travers ses films, il explore la complexité des relations humaines et la fragilité des émotions. En parallèle de sa carrière cinématographique, il travaille aussi sur des projets de courts-métrages et de documentaires. Avril Tembouret est un réalisateur dont l’univers artistique se distingue par une quête constante d’authenticité et de profondeur narrative.
Réalisé par Avril Tembouret • Écrit par Avril Tembouret – France • 2018 • 86 minutes
En 1990, Yves Chaland, dessinateur originaire de Nérac et prodige de la bande dessinée, disparaît à l’âge de 33 ans. Vingt-cinq ans plus tard, son souvenir est étonnement vivant. Des auteurs aussi incontournables tels que Berbérian, Clerc, Floc’h, Gaccio, Lepennetier, Margerin, Roussin, Zep ou l’acteur Benoit Poelvoorde se réclament de lui comme d’un maître, et son œuvre, d’à peine une dizaine d’albums, semble conserver une puissance d’évocation intacte. À quoi tient cette étrange exception, unique dans l’histoire de la bande dessinée ? Retour sur l’empreinte discrète et profonde de cette comète du 9e Art, à la rencontre des dessinateurs et créateurs d’aujourd’hui qui ont subi son influence déterminante.
France • 2017 • 54 minutes • HDCam • Couleur
Réalisation Avril Tembouret
Documentaire de 43 mn, 2013
Lele Vianello
né le 7 septembre 1951 à Venise, est un auteur de bande dessinée italien. Diplômé en dessin industriel, il débute sa carrière au milieu des années 1970 en illustrant des histoires de science-fiction pour le magazine « Il Mago ». En 1981, il publie « Venezia una singolare avventura ». Sa rencontre avec Hugo Pratt dans les années 1980 marque un tournant décisif : il devient son collaborateur et travaille sur des œuvres telles que « Cato Zoulou » et « Jesuit Joe ». Après le décès de Pratt, Vianello poursuit sa carrière en solo, réalisant des albums comme « Le Fanfaron » (1993), « Cubana » (2011) et « Lunes vénitiennes » (2014). Son style graphique, influencé par Pratt, se distingue par une ligne claire et épurée. Résidant à Malamocco, sur le Lido de Venise, Vianello continue d’explorer des thèmes liés à l’aventure et à l’histoire dans ses œuvres.
Le Dalaï-Lama a chargé les redoutables moines guerriers Dob-Dobs de son monastère d’escorter l’ingénieur anglais Gordon.
Ce dernier doit récupérer le trésor que le Baron Ungern avait caché dans les montagnes avant sa mort.
Las, une espionne russe a dérobé les plans…
Ancien artiste de cirque un nommé Angel Steranko la mène, poursuivant une sanglante vengeance suite au massacre de sa famille par un groupe de Cris et d’Assiniboines, peu avant la bataille de Fish Creek. Alerté par une des victimes des tueurs, le sergent Keller va tout faire pour contrer cette folie sanguinaire aidé par Choléna, tous deux prenant la piste vers le camp du chef Dancing Bear sur lequel pèse désormais la menace.
Western dans le Grand Nord par les vieux routiers que sont Corteggiani et Vianello.
Ainsi commence un récit étonnant qui revisite l’Histoire.
A l’insu du commandant d’U-Boot Wilhelm Slütter et de son équipage, les nazis tentent de conduire Hitler en Argentine. Mais il ne veulent pas laisser de témoins… Comment Slütter survivra-t-il à cette folle mission des derniers fanatiques de la dictature ?
Vince (Vincent Chevalley)
Avec son physique incontournable à la Bud Spencer, l’auteur Vincent Chevalley alias Vince, à suivi une scolarité classique et c’est ensuite tourné vers les arts décoratifs de Genève. Il à travailler comme aide soignant et brancardier aux HUG durant des années.
Le dessin il est tombé dedans quand il etait petit, il illustre un premier livre pour enfants alors qu’il n’a que 12 ans écrit par son grand-père. rebelote quelques année plus tard, Pomme de paille un second livre illustré par ses soins et ecrit par Magrit Franic. il met son Son talent d’illustrateur pour faire connaitre la fibromyalgie, maladie orpheline en europe. A 17 ans, il est publié dans des collectifs: Calvin reviens et Guillaume Tell reviens. Les dessins d’actualité ont fait l’objet de parutions dans La Reppublica l’Espresso, puis dans le New-York Times norvègien. Avec Mosquitos il publie son premier livre.
Au Québec, Savez-vous ce qu’est un Maringouin?
Chez nous, Il est appelé plus communément un moustique ! Vous savez la petite bête qui cause le plus de morts chez l’être humain ?
MOSKITOS passe en revue ce thème qui gratte avec humour! Les gags, souvent accompagnés de citations, d’adages ou d’informations sur notre diptère bien méconnu vous permettra de passer des nuits blanches et torrides, mais avec le sourire!
Gare ! ça va piquer cet été ! Avec une préface de Barrigue ! © Chez Yvette